Douce déchirure sentimentale, comme partie au vent, au vent de la tempête. Entre ciel et terre j'ai résisté pour qu'un jour je puisse enfin retrouver le goût d'aimer, ce goût si doux que tu m'as appris.
La pluie tombe sur mon visage, c'est une pluie ressemblant à des larmes, celles de la tristesse, tristesse égarée.
Recommencerais-je un jour cette bêtise? Mon amour, tu es partie, partie pour que plus jamais je ne puisse te tendre la main.
Ensorcelé par des rêves, je me suis laissé guider, comme perdu dans un monde où personne ne veut de moi.
J'arrêterais de rêver pour ne plus penser, j'avancerais là où je ne pourrai plus respirer. Si je laisse des souvenirs, ce n'est pas pour te plaire, c'est juste pour te montrer que tu ne me seras jamais indifférente. Le bonheur que tu m'as apporté ne sera jamais effacé, il continuera à ce dessiner car je l'ai fortement souhaité.
Si je reste à tes cotés, mon amour, c'est juste car j'ai besoin de toi pour avancer dans ce monde. Ces souvenirs resterons gravés, rien n'est fini, qui sait ? Le futur est aussi propre que notre esprit.
Tandis-que ton sourire s'agrandit devant mon regard, la pluie s'est arrêtée pour laisser place au ciel bleu, l'arc-en-ciel s'est dessiné, les couleurs pâlissent, alors que mon âme reste égarée.
Revoyons nous encore en rêve car seul dans cet état d'esprit mon regard te montre la réalité.
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