samedi

Galaxy on fire.


Paupières closent, emmenés sur un nuage en un milliers de proses.
Ciel étoilé, comme dans un rêve où je m'endormais sur tes lèvres. À la nuit tombée, timide et illuminée, tu pointais le bout de ton nez, tout juste pour que je puisse l'embrasser.
J'ouvrais mes bras en te voyant débordée de froid. Tu étais indescriptible, ho tu en étais même irrésistible.
En un regard me faire traverser le couloir. Un vertige aussi coloré qu'une aurore boréale. Quelle chaleur enivrante et puissante, rien ne l'égale.
Une envie jusqu'à en avoir les yeux mi-clos telle la force d'un fléau. Une pluie de frissons comparables à celles d'étoiles filantes, mille et une sensations égales à deux météorites en collision.

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