Elle a l'allure d'une plume et pourtant elle est aussi pesante qu'une enclume.
C'est la mort qui t'as pris de cours et t'as gommé vers une infinie destinée.
Tu n'as pas voulu cesser tes rancoeurs et tu t'es emmêlé dans des erreurs sans fins.
La peinture de tes sentiments étaie souillée. Les couleurs ternissaient tandis-que tes larmes séchaient.
Regarde toi, le visage sans formes, ton ombre ne te suis même plus et ta respiration n'est plus.
Quelles sont tes expressions imagées que tu essayes de nous donner, elles n'ont aucun espoir, aucun futur, elles nous servent même de défouloir.
Cesse donc ces ratures de l'esprit et passe donc à l'écriture mais tu ris.
Le rire d'un enfant ayant un passé troublant. C'étais donc cela, ta peinture te servais d'armure.
Si tel était ton choix, le voile noir qui t'entoure est dorénavant un aller sans retour.
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