dimanche

Silence Éphémère.

Sur un fond sonore, dit moi que j'ai raison, j'ai si peur d'avoir eu tort. Tu en es si sûr. C'est donc pour cela que tu as fermé cette fissure. Douce allure, un sentiment commun, tout comme la création d'un destin conjugué au futur.
Tu es si délicate. Température commune, serré si fort on constate. Qu'un amour c'est à deux, tu fais un vœu, lèvres nouées, on fait comme on veut, rien ne va échouer. À cœur en accord, doucement en avance. Pensé au futur. Le ciel couleur azur tu danses. Des heures durant, le temps est si lent. Dans un élan de bravoure, affronter les difficultés. Face aux blessures, ne tombe pas, je suis là.
À quoi penses-tu. Cet amour les tue. Les anciens n'ont pas sur prendre soin. Laisse-toi aller, tu n'es pas en territoire piégé. Le silence dans les airs, tapit au-dessus des nuages. Comme un rêve éveillé où la fin n'a ni de chagrin ni de lendemain. Un regard à travers le hublot et déjà les yeux mi-clos. Le rêve est si clair déjà. Innocente est la timidité, aux yeux de tous m'as-tu regardé? Aucun doute nous sommes près du but.
Dit toi que rien ne peut rater. Parole d'un pirate bien orienté. Aucun danger ne peut arriver; nous sommes d'un sentiment forgé.
La littérature comme la peinture, reparlons de cette allure qui nous va si bien. Liés par le destin nous y croyons. Ce n'est plus un crime de faire autant de rimes. La vérité se fond à l'encre de ma plume. Caresser d'un pinceau, tes blessures se consument. Des éclats de rires, nous sommesparti pour sourire.
Enlacés comme dans un doux cachemire tu t'es laissé séduire pour ne plus jamais souffrir.

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