L'air glaciaire approche, le ciel s'éclaircit du blanc étincelant, le vent se lève et sa violence pousse les êtres vers la sortie, celle du monde des vivants.
Statues de glace, regarde l'espèce humaine se figer dans le temps, glacés jusqu'au sang , c'est terminé. Les oiseaux cessent de voler, fini symbole de liberté et autre cliché, la peur se lit dans l'œil du loup. Un dernier cri est puis.
Le vent s'approche, il déracine les arbres et viole les branches et les feuilles.
Nos corps commence à se glacer. Je t'ai prise dans mes bras mais il est trop tard, nos corps se figent à leur tour.
Étrangement, une sensation de chaleur nous habite. L'amour a sauvé nos cœurs mais ce n'est pas assez. Le vent souffle. Je m'approche assez pour te le prouver.
Mon souffle sur tes lèvres comme une peinture ayant pour toile le ciel.
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